L’ancien Directeur de Cabinet au Ministère des Mines salue l’accord de paix entre la RDC et le Rwanda, tout en réitérant sa disponibilité à servir sous la conduite du Chef de l’État.
Dans une déclaration solennelle rendue publique ce dimanche, Maître Michel Kibonge, Conseiller du Président de la République au Collège des Mines et Hydrocarbures, a salué l’acte de haute portée politique et humaine que constitue l’accord de paix récemment conclu entre RDC et le Rwanda, sous médiation américaine.
Juriste de formation et ancien Directeur de Cabinet au Ministère des Mines, Maître Kibonge a rendu hommage au Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qualifiant l’accord de geste audacieux qui transcende les clivages et redonne à notre peuple le droit fondamental à la paix.
« La paix n’est pas un simple mot, c’est un acte », a-t-il déclaré, soulignant le courage, l’humilité et la responsabilité dont aurait fait preuve le Chef de l’État.
Selon Kibonge, cette avancée diplomatique consacre Tshisekedi comme l’architecte incontestable de la paix, non seulement en RDC, mais aussi en Afrique centrale et au-delà.
Fort de son expérience dans le secteur stratégique des mines et hydrocarbures, Maître Kibonge a réaffirmé sa volonté de continuer à servir la République.
« C’est avec honneur que je poursuis mon engagement au sein des institutions, sous votre conduite, Monsieur le Président », a-t-il indiqué, se disant prêt à accompagner la mise en œuvre des accords annexes.
Son engagement s’inscrit dans une vision politique axée sur la primauté du dialogue, la souveraineté nationale et le développement durable de la RDC. Un positionnement qui illustre une convergence entre « technicité, fidélité politique et conscience patriotique ».
Dans un contexte régional marqué par des tensions persistantes, la déclaration de Maître Kibonge rejoint celles de nombreux acteurs politiques et observateurs saluant ce qu’ils considèrent comme un tournant historique.
Alors que la RDC s’engage sur la voie de la stabilisation, les mots de Maître Kibonge résonnent comme un appel à l’unité et à la consolidation des acquis.
Par Dieumerci Anawezi