À Kinshasa, l’avenue Bongolo, située à hauteur de l’Université Simon Kimbangu, connaît une dégradation préoccupante, moins de trois ans après sa dernière réparation. Cette situation met en lumière une série de problèmes qui affectent non seulement la qualité des infrastructures routières mais aussi la vie quotidienne des résidents et usagers de cette voie cruciale.
Malgré une récente réhabilitation, la route présente déjà des signes visibles de détérioration. Les fissures, les trous et l’asphalte endommagé témoignent d’une usure rapide et d’une qualité de construction qui semble insuffisante pour résister aux contraintes du trafic quotidien. Les usagers, ainsi que les habitants de la région, expriment leur frustration face à cette situation, soulignant que les conditions de circulation se détériorent rapidement.
Les résidents déplorent le manque de réaction de la part des autorités responsables de l’entretien des routes. Pour eux, cette indifférence des responsables met en lumière un problème systémique de gestion et de maintenance des infrastructures routières à Kinshasa. La situation actuelle suscite des inquiétudes quant à la durabilité des travaux de réparation et à la qualité des matériaux utilisés.
En réponse à cette crise, des appels urgents sont lancés pour une enquête approfondie sur les pratiques de réparation routière et une meilleure gestion de l’entretien des routes. Les citoyens espèrent que des mesures seront prises pour remédier à la situation et garantir que les routes de Kinshasa soient réparées et maintenues de manière adéquate à l’avenir.
Alors que les autorités restent silencieuses sur le sujet, la communauté locale continue de vivre avec les impacts négatifs de cette dégradation prématurée, espérant un changement rapide dans la gestion des infrastructures routières.