Depuis quelque temps, les médias internationaux ont porté leur attention sur le Burkina Faso, plus précisément sur le pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré. Cette mise en lumière a suscité des réactions vives de la part du Président Burkinabé, qui accuse ces médias d’être manipulateurs.
Selon le Président Bourkinabé, ces médias diffusent délibérément de fausses informations sur l’Afrique en général et sur son pays en particulier. Ils exercent une pression constante pour discréditer les dirigeants africains et semer la méfiance envers les Africains eux-mêmes. Le Président invite la jeunesse africaine à se désabonner de ces chaînes et à ne plus les suivre.
Il va même plus loin en affirmant que ces médias ont joué un rôle dans la mort tragique de Mouammar Kadhafi et ont propagé de nombreuses fausses nouvelles sur l’Afrique. Cette dénonciation soulève des questions importantes sur la responsabilité des médias internationaux dans la façon dont ils couvrent les événements en Afrique.
Le Capitaine Ibrahim Traoré, quant à lui, reste au centre de l’attention médiatique. Son pouvoir et ses actions sont scrutés de près, et il doit faire face à des critiques constantes. La situation met en évidence les enjeux complexes liés à la représentation médiatique des pays africains et à la manière dont elle peut influencer les perceptions mondiales.