Kinshasa sous les eaux | Denise Nyakeru et sa fondation en première ligne face à l’urgence humanitaire : 3 000 matelas distribués aux sinistrés

Alors que des pluies diluviennes se sont abattues sur Kinshasa dans la nuit du 4 au 5 avril, provoquant inondations, destructions et désolation, la Première Dame de la République Démocratique du Congo, Madame Denise Nyakeru Tshisekedi, a répondu à l’urgence avec un élan de solidarité remarquable. À travers sa fondation, elle a orchestré une intervention rapide et structurée pour soulager les souffrances des milliers de sinistrés, témoignant une fois encore de son engagement sans faille envers les plus vulnérables. 

Les sinistrés de l’inondation au centre gymnase

Dès les premières heures suivant la catastrophe, les équipes de la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi (FDNT) se sont activées sur le terrain, répondant à l’appel urgent des populations affectées. Dans un communiqué publié ce lundi, la Fondation a souligné avoir agi « avec cœur, rapidité et détermination», en coordination avec les autorités locales. Près de 3 000 matelas, des couvertures et des kits de première nécessité (vivres, eau, produits d’hygiène) ont été acheminés vers l’un des gymnases réquisitionnés par le Gouvernement provincial de Kinshasa pour servir d’abri temporaire aux familles déplacées. 

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Face à l’ampleur des besoins  logements submergés, routes coupées, biens emportés par les eaux , cette aide matérielle vise avant tout à offrir un réconfort immédiat aux sinistrés. Les dons, stockés et distribués sous supervision, ont permis de sécuriser des conditions de vie minimales pour des centaines de familles, dont beaucoup ont tout perdu en quelques heures. 

Le gymnase transformé en centre d’hébergement d’urgence symbolise cette synergie entre acteurs publics et initiatives privées. Si l’accent est mis sur la réponse immédiate, la Première Dame a rappelé, via sa Fondation, la nécessité de solutions durables face aux inondations récurrentes à Kinshasa.  

Alors que les pluies ont mis à nu les fragilités infrastructurelles de la capitale, cette mobilisation rappelle que l’humanité reste la meilleure réponse aux défis les plus criants. 

Rédaction : Horus-Gabriel Buzitu

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